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Kingsman: violence et jubilation


Colin Firth en agent secret plus moderne que James Bond, des gadgets plus élaborés que ceux de l’inspecteur du même nom, un casting pas piqué des anetons, et des effets spéciaux dignes d’un Jurassic world, « Kingsman » est décidément bourré d’atouts.

Ce n’est certainement pas le meilleur film du bel anglais qui avait ravi nos coeurs de fillette dans « Le journal de Bridget Jones » (pour rappeler d’ou il vient) et émus les historiens dans « The King’s speech ». Pas le meilleur rôle non plus de Samuel L. Jackson, mais on se doute qu’il a pris énormément de plaisir à incarner le méchant de l’histoire.


Un cocktail explosif qui débute par l’histoire d’un jeune mec paumé (Taron Edgerton), qui a tout pour mal finir mais se trouve recruté par l’agence Kingsman, qui se propose de le former à devenir agent secret. Un morceau du film montre donc cet entrainement, tandis qu’une autre partie nous dévoile ce que trafique le méchant. Jackson donc, en gansgta bling-bling qui ne supporte pas la vue du sang, mais complote contre l’humanité. Chapitre suivant: stopper ce méchant, si possible en montrant le plus de gadgets et d’armes possibles, en réalisant les meilleures culbutes et en tuant un max de gens. Nous sommes bien dans un film d’espion.


Le scénario peut paraitre simpliste, il l’est. Mais traité avec tant d’humour et d’action qu’il est impossible de s’ennuyer une minute. Le film joue a fond sur les clichés du film d’espionnage pour lui donner un coup de neuf, et multiplie les clins d’oeil aux cinéphiles. Sans être un film à mourir de rire, Kingsman réjouis, prend au dépourvu, et laisse surtout une impression de « Mais wtf dude!! ».

A voir entre potes.


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